Si votre véhicule échoue au contrôle technique, il doit être réparé. Ceux-ci seront vérifiés dans le cadre de l'anti-accès. Vous trouverez tout ce qu'il faut savoir dans cet article pour réaliser cette étape dans de bonnes conditions.
Un petit rappel sur le contrôle technique
Tous les conducteurs doivent soumettre leur véhicule à un contrôle technique. Pour les véhicules neufs, ce contrôle doit être effectué dans les six mois précédant le quatrième anniversaire de la date de première mise en circulation. Après cela, il doit être renouvelé tous les deux ans. Le contrôle technique a pour but de vérifier le bon état et le fonctionnement normal des principaux composants du véhicule. Ce diagnostic s'effectue sans démontage en 124 points contrôlés avec précision, répartis autour des 10 fonctions principales du véhicule.
REMARQUE : Ces points de contrôle varient selon le type de véhicule. Ainsi, les véhicules hybrides et électriques font l'objet de contrôles techniques spécifiques.
A quoi sert la visite de retour ?
L'anti-accès est requis lorsque 72 points de contrôle spécifiques échouent ou échouent. Une défaillance des phares ou des clignotants pourra être pénalisée, de même qu'une défaillance des systèmes de freinage, des équipements (sièges, ceintures de sécurité, etc.). L'état des pneumatiques et leur adhérence, ou encore la bonne visibilité du conducteur, sont autant de critères à respecter. Faites également attention au corps, il ne doit y avoir aucune partie saillante. Des niveaux de pollution excessifs peuvent également être à l'origine de visites répétées. Enfin, l'anti-accès peut être nécessaire si le contrôleur constate le moindre facteur pouvant compromettre la sécurité (la sienne et celle des autres).Elle intervient également lorsque la réglementation en vigueur n'est pas respectée.
Par exemple : une plaque d'immatriculation illisible ou manquante entraîne une réparation obligatoire, entraînant une visite de retour.
Comprendre le processus de visite de retour
Si le véhicule échoue au contrôle technique, le propriétaire dispose de deux mois pour effectuer les réparations nécessaires aux différents points pertinents. Passé ce délai, une nouvelle visite technique doit être effectuée. Une fois les réparations terminées, le véhicule doit être soumis au même centre de contrôle où le contrôle technique est effectué. Si les lacunes constatées lors de l'inspection ne sont pas corrigées, une deuxième contre-inspection sera effectuée dans les deux mois suivant l'inspection réglementaire. S'il réapparaît, le défaut persiste et une nouvelle visite s'impose.
Cette question est difficile à répondre pour plusieurs raisons. Tout d'abord, chaque modèle et chaque moteur évolue différemment. L'entretien effectué par le propriétaire du véhicule peut également avoir un impact sur l'état général du véhicule. Les moteurs diesel sont connus pour durer plus longtemps. Cependant, de nombreuses voitures à essence parcourent plus de 200 000 km sans sourciller. L'idéal est d'identifier un modèle qui répond à votre budget et à vos besoins. Les voitures de plus de 10 ans économisent sur les frais d'immatriculation du véhicule, mais peuvent nécessiter davantage de réparations.
Quels sont le kilométrage et l’âge idéal d’une voiture d’occasion ?
laissez un commentaire